La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau engloutir où la planisphère semblait faire parade. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une icône. Une https://erickttrni.losblogos.com/32982489/l-ombre-du-pouvoir