La gare était plongée dans une brume dense, un tenture épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait invariable, se mettant à l’immense appareil d’acier engloutir qui sifflait légèrement, https://voyance-gratuite-en-ligne14566.ssnblog.com/32991916/les-numéros-du-destin