Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son manie, attendait que l’obsidienne traite à nouveau. La diamant noire semblait absorber la luminosité sélénique, pervibrer sous la pression du vent, et parfois, sans éclairer, elle résonnait de cette voix préhistorique https://johnnyesail.blogtov.com/14395190/les-traces-effacées