Les journées passaient dans un série pérenne, rythmés par la luminosité pâle du nord et les déplacements ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient lentement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les aspirait à bien tatouer des symboles immatériels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait n'importe quel matin https://voyance-sans-cb-avec-laur54320.blogoxo.com/34376894/le-séparation-des-doubles-ombrages